Beaucoup d’étudiant·e·s ne se sentent pas encore légitime pour démarcher le SAH. Souvent, iels ne considèrent pas leur maladie comme un handicap et ne pensent pas pouvoir bénéficier d’aménagements pendant leurs études. Pourtant, la définition est claire : « Constitue un handicap […] toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société […] » (article L114 du code de l’action sociale)
Lorena, 20 ans, n’a pas souhaité l’accompagnement du SAH. Pour elle, sa dépression et ses troubles paranoïaques ne devraient pas lui permettre un « traitement de faveur. »