En 1982, Stan Getz est déjà un habitué du New Morning. Le club a ouvert ses portes l’année précédente, dans un contexte d’effervescence musicale et de brassages culturels en tout genre qui ont marqué le Paris du début des années 80.
C’est là où il faut être, et Stan Getz, comme beaucoup de ses confrères, contribue à faire les belles nuits du club, qui devient très vite l’une des meilleures scènes du jazz.

Ce soir-là, Stan Getz donne le meilleur de lui-même, accompagné d’une section rythmique parfaite : John McNeely (piano) Marc Johnson (contrebasse), Victor Lewis (batterie).

Un concert exceptionnel, l’un de ses meilleurs, toute époque confondue. New Morning 1982, comme si vous y étiez.

Live in Paris, 1982 (Dreyfus Jazz, 1996)

Un Grand Amor (Antonio Carlos Jobim)

Blood Count (Billy Strayhorn)

Airegin (Sonny Rollins)

Blue Skies (Irving Berlin

On the Up and Up (Jim McNeely)

I Wanted To Say (Victor Lewis)

Tempus Fugit (Bud Powell)