Fin des années 60, la déferlante pop-rock et la nouvelle contre-culture née du Summer of Love laissent les musiciens de jazz sur le carreau.

Le jazz ne rapporte plus et les petits clubs ferment leurs portes les uns après les autres. « Le jazz est mort » peut-on lire sous la plume d’un critique de la presse musicale.

Comment renouer avec ce public qui s’est détourné du jazz ?
La réponse de Bobby Hutcherson, dans « Pour qui sonne le vibraphone, deuxième épisode ».