Dans les contes, les cheveux soyeux des jeunes filles sont, en général, qu’un atout de plus à leur légendaire beauté. Aujourd’hui on découvre qu’en plus d’être jolis ils peuvent être utiles. Au détour d’une nouvelle et d’un poème en prose, on verra aussi que les cheveux sont d’étranges filets dans lesquels s’emmêlent les hommes et l’amour.
texte :
« Rapunzel », les frères Grimm in Contes de l’enfance et du foyer, publié en 1812
« Un hémisphère dans une chevelure », Baudelaire in Le spleen de Paris, publié en 1869 (éd. posthume)
« La chevelure », Maupassant in Contes fantastiques, publié en 1884
musique :
he Greatest, Cat power, album « The Greatest »