Slowcore et rock minimal pour débuter l’année : Slippery When Wet est consacré au(x) Californien(s) d’Idaho, un one-man-band où même la guitare est déprimée et n’a que 4 cordes… Pour pimenté le tout, on ajoute une grand-mère en Stan Smith qui kiffe trop Joey Starr, pour une chronique décapante de « Pendant que les mulots s’envolent » [Corinne Valton, 2016, édité chez Paul&Mike].
La playlist :
– Idaho « Skyscrape » [Year after year, Caroline records, 1993]
– Cowboy junkies « Sweet Jane » [The trinity session, RCA, 1988]
– Galaxie 500 « Flowers » [Today, Aurora records, 1988]
– Codeine « Atmosphere » [When I see the sun, Numero group, 2012]
– Idaho « Hold everything » [The forbidden EP, Buzz records, 1997]
– Idaho « Scrawny » [Alas, Buzz records, 1998]
– Low « Take » [Long division, Vernon yard, 1995]
– Idaho « Save » [Year after year, Caroline records, 1993]
– Cat power « American flag » [Moon pix, Matador, 1998]
– Idaho « Impaler » [You were a dick, Idaho music, 2011]
– Arab strap « New birds » [Philophobia, Chemikal Underground, 1998]
– The XX « Our song » [Coexist, Young Turks, 2012]
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